Pas de photo car l’appareil photo a décidé au dernier moment de rester à la maison…

(c’est bien dommage car le givre nous a offert de superbes spectacles)

 

 

Après de longues hésitations, nous partons de Tournaboup vers 16h en direction du col de Barèges. (Jusqu’au dernier moment on envisageait de partir que le lendemain matin avec Matouf, mais faute de nouvelles nous avons attaqué le samedi).

Plus nous montons plus le soleil descend… Nous finissons par arriver à la cabane d’Aygue-Cluse à la frontale. Bonne surprise, il y a déjà 3 personnes dedans ! ( http://www.pyrenees-refuges.com/fr/affiche.php?numenr=40 ).

Finot ayant eu une soirée bien remplie … nous sommes parti léger en apéro

(Comme le dit le dicton « Quand le vendredi Finot trop picole, le samedi l’apéro point ne décolle ». ). Nos camarades de cabanes (Nantais) ont de leur coté très bien fait les choses : champagne, pif, pâtes carbonara, crêpes au chocolat et p’tite tisane pour bien dormir. Bref nous prenons une leçon d’«apéro en montagne» !

 

Après une bonne nuit plutôt confortable nous continuons notre boucle en direction du col de  Barèges pour basculer côté « vallée d’Aure » ambiance seul au monde avec un temps de fou (Comme le dit la sagesse populaire :« Quand Pot’Alain bricole, le soleil tout le week-end rigole » ;-))

 

A l’instar de l’appareil photo, la carte IGN a décidé au dernier moment de rester dans la voiture… C’est donc de mémoire et à l’improvisade que nous cheminons entre lacs, les arbres et crêtes en direction de la hourquette d’Aubert.

La neige est béton mais possède quand même un peu de grip, ce qui rend les descentes presque agréables. En revanche une fois passé la Hourquette d’Aubert (et surtout sous le lac de Dets Coubous) la descente se fait plus technique et presque désagréable.

 

Au final une jolie boucle d’une vingtaine de kilomètre en montagnes russes.

C’est promis, la prochaine fois on ne se loupera pas sur l’apéro ! Car comme le dit le proverbe : « Si par 2 fois à l’apéro c’est la pétole, à coût sur le ridicule tu frôles»

 

 

A+

Niko.